Palindromes - Français
(Groupes de) mots lisibles dans les deux sens : phrases en français
À Cuba, Hannah a bu ça
Agir à Riga
Ah, cinéma ! L'âme nicha
Ainsi, Anaïs nia
À la corde, Pedro cala
Alain a vu Vania là
Alarmiste et Sim râla
À l'autel elle alla, elle le tua là
À Laval, elle l'avala
A l'ergonome rusé, mesure mon ogre, là
À l'étape, épate-la ! (Louise de Vilmorin)
À Miami, Lili m'aima
Ami, la tiare serait à Lima
Amorale, la Roma ?
Amorti, Bush subit Roma
À Noël, Argine dénigra Léona
À Noël, au Texas, Ed, désaxé, tua Léona
À Noël, Eloi viole Léona
À révéler mon nom, mon nom relèvera
À Riga, l'acide médical agira
À rire, pépé périra
Aromate et Amora
Aron, au Togo, tua Nora
Art lu, ultra
As, arc émergé né du ressac, artiste tel, Perec, ce replet et si tracassé rude nègre m'écrasa
À son égard, rage n'osa
À Toyota !
Au second, noce sua
Auto tua
Avec ami, la limace va
Avec rafale, la farce va
Ave Éva
Ave Maria, j'ai ramé, va !
Averti, Bush subit, rêva
Bon sport, trop snob
Car, tel Ali, il a le trac
Caser vite ce palindrome ne mord ni lape cet ivre sac
Ce mec
Ce méga-taré... Même las, Lee, tu as sauté Elsa : le même ratage, mec !
Ce repas à Perec
Ce repère, Perec
Ce reptile relit Perec
Ce repu Perec
Ce réputé têtu Perec !
Ce satrape repart à sec
C'est sec
Codétenue ? Lisa l'a été à l'asile un été, Doc !
Eh ! Ça va, la vache ? (Louise de Vilmorin)
Éli, tu es avec ce vase utile
Éliot, rusé, traça sa carte sur toile
Élisa, rude, lava le dur asile
Élucide l'édicule
Élu par cette crapule
Émile-Éric, notre valet, alla te laver ton ciré élimé (Georges Perec)
Émile nu a une lime
Ému, ce kayak écume
ENA : Âne
Engage le jeu que je le gagne (Alain Damasio)
En Iran : assaut, otage. L'imam omis : élu esseulé. Si mon ami, legato, tu as sa narine
En nos repères, n'insère personne
En recrue, la renégate t’a gêné, râleur cerné !
Épate-la à l’étape
Éric, notre valet, alla te laver ton ciré (palindrome préféré de Maître Capello)
Éros s'essore
Ésope reste ici et se repose
Et apparue la rudesse du râleur appâté
Et ce laid dialecte
Et curé gorgé de grog éructe
Etel, un port trop nu l’été
Eté, ta lèvre serpent ne préserve la tête
Et la marine va, papa, venir à Malte
Et l'axe lamina l'animal exalté
Et Luc colporte trop l'occulte (Michel Laclos)
Et Luc nie ça. Par ivresse, tu t’es servi, rapace inculte !
Etna, lave « dévalante »
Et on note !
Et rose dure de rude sorte
Et se resservir, ivresse reste
Et si l'arôme des bottes révèle ma déviante et naïve dame, le verset t'obsède, moraliste !
Ève, le Port-Salut, tu l'as trop élevé
Ève rêve
Ève, leste, lia l’ail et se lève
Il a l'âge légal, Ali
Il a sali
Il li (Franck Ribery)
Karine alla en Irak
Karine évitait initiative en Irak
L'âge légal
La malade pédala mal
La mariée ira mal
La marine en ira mal (Victor Hugo)
L'âme des uns jamais n'use de mal
L'âme d'Ève rêve de mal
La mère Gide digère mal (Louis Scutenaire)
La mère puce récupère mal
L'âme sûre ruse mal (Louise de Vilmorin)
La meute me tue mal
L'ami naturel ? Le rut animal !
L'arène gèle le général
Le bon Nobel
Léon a erré à Noël
Léon a l'âge légal à Noël
Léon a rasé César à Noël
Léon a trop par rapport à Noël
Léon, émir cornu, d'un roc rime Noël (Charles Cros)
Léon n'osa rêver à son Noël
Le sac à sel
Lieu cerné en recueil
Lieur à Rueil
Lucerne en recul (André Thomkins)
Lune de ma dame d’été, été de ma dame de nul
Mon nom
Naïve Aline : le Nil à Évian !
Né de l'Éden
Nier est effet serein
Noce : l'adoré roda le con
Noël a trop par rapport à Léon
Non à ce rêve, sévère canon
Nue, j'aime demi à jeun
Odile, la diva, vida le Lido
« Oh, cela te perd ! », répéta l'écho
Oh, cet écho !
Par-delà le drap
Paul à été sauté. Tu as été à l'UAP ?
Rasé, cède-t-il à ta fatalité de César ?
Regarder Fred rager
Régine l'a vu, va, le Niger
Réussir à paris : suer
Ria, le minaret te ranime l'air
Rions noir
Rose utérus, à ma masure, tu es or !
Rue d'Ulm, lueur
Sa lèvre cervelas
Salut, tu l'as ?
Sarah élève le haras
Serge lève le grès
Sète sonne en nos étés
Sévère mal à l'âme, rêves
Sexe vêtu, tu te vexes
Si Ana lime la pudeur, Alain nia la rue du pâle milanais
Sida, rap, assena Vanessa Paradis (Yvon Duval)
Si le lilas a sali le lis
Sir, ce jeu, quel brio sélect sensé dira ses opposés arides ? N’est-ce le soir bleu que j’écris ?
Snobs aptes et pas bons
Suce ses écus
Ta belle porte s'use trop, elle bat
Ta bête te bat
Ta fesse n'a le désir irisé de l'ânesse, fat !
Tâte l'état
Tel ignoble, tel bon gilet
Tel libella mal le billet
Toi, Roger, épelle Père Goriot
Trace là mon nom à l'écart
Trêve verte et rêve vert
Tu l'as ici, salut
Tu l'as trop écrasé, César, ce Port-Salut (alexandrin attribué à Victor Hugo)
Un art luxueux ultra-nu !
Un art né ici entra nu
Un bob nu
Un bon snob nu
Un drôle de lord nu
Un émir fada, venu du Névada, frime nu
Un nu
Un port trop nu
Un rêve de ver nu
Un roc cornu
Un roc lamina l'animal cornu
Un roc si biscornu
Un soleil du Sud lie l'os nu
Zeus a été à Suez (tournure impropre)